Point de vue n° 024
Petit-Bourg, Route de la Traversée (97170)

Date : 07/07/2016 à 10:44 - Campagne initiale
Auteur : Sylvain DUFFARD
16.1811 ° Nord
-61.735 ° Ouest
Canon EOS 5D Mark III
Canon 24-70mm f/2.8 série L II USM
35
400
500
11
159

Date : 12/10/2017 à 08:11 - Reconduction partielle post cyclone Maria
Auteur : Pierre de CHAMPS
16.1811 ° Nord
-61.735 ° Ouest
Nikon D750
Tamron SP 24-70 mm f/2,8 DiVC USD
35
400
400
11
159

Date : 11/07/2018 à 09:48 - Campagne de reconduction complète
Auteur : Sylvain DUFFARD
16.1811 ° Nord
-61.735 ° Ouest
Canon EOS 5D Mark III
Canon 24-70mm f/2.8 série L II USM
35
400
400
11
159

Date : 08/07/2021 à 11:15 - Campagne de reconduction complète
Auteur : Sylvain DUFFARD
16.1811 ° Nord
-61.735 ° Ouest
Fuji GFX 50R
GF 32-64mm F4 R LM WR
45
400
250
13
159
Mots clés
Unité paysagère
Vallons urbanisés de la confluence
Typologies spatiales
Reliefs et massifs forestiers
Thématiques
Sites emblématiques et remarquables, Infrastructures de déplacement
Intentions photographiques
L'adoption de ce point de vue sur la Route de la traversée, à hauteur du Col des Mamelles, m'a semblé opportun pour évoquer la succession des passages denses et des portions plus ouvertes qui jalonnent cet axe remarquable du réseau routier guadeloupéen.
(Sylvain DUFFARD, septembre 2016)
Analyse paysagère
De l’insertion des glissières de sécurité en milieu naturel
Ce paysage se situe au cœur du Parc National de la Guadeloupe, le long d’une route emblématique, la route de la Traversée qui connecte les deux façades maritimes de la Basse-Terre. En regardant dans le détail, on s’aperçoit que deux types de mobilier urbain sont mis en œuvre pour sécuriser les bas-côtés. L’un est en acier et l’autre en habillage bois sur une structure métallique. Autant, le premier ne fait pas « naturel », autant le second l’est, tout du moins en apparence.
Car dans la durée, les glissières de sécurité en bois (pin douglas) pourrissent et se désagrègent peu à peu, laissant la structure métallique bien visible. Il est regrettable que sur les hauteurs de la Traversée, là où le climat est très humide, que l’on ait choisi ces matériaux : esthétiques au départ puis de plus en plus inesthétiques le temps passant.
La mise en place d’une charte paysagère dans cet espace hautement patrimonial eut été pertinente. Cela aurait évité d’avoir du bois mixé à l’acier, des couleurs écrues et vertes.
Jean Christophe ROBIN,
urbaniste
avril 2020